Je parle du jardinier qui est la jolie fleur de son minable jardin ; du maraîcher saisi qui est la seule moisson de son archi petit potager:
son potage acerbe se lance sur l'herbe de mon corps de poisson, de ma joie, de ma peur, de ma cradingue poésie.
Sa verge et ses vergers sont dures et desséchées; il se fend sous une barge.
La vierge de ses bergers bellement barbus est également poilue- c'est lui. Me voici bouche bée sous les plaqueminiers et les cognassiers en coinceteau de marge recevant ses jets: la soupe de la vierge que s'imbibe la verge
dimanche 9 mars 2008
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7 commentaires:
oh ben c'est zoli cette poésie toute droit giclant des verts paradis des amours zenfantines du Moine. Au fait, depuis quand, le Moine ???? On t'a tondu pour collaboration sarkoziste dans le quartier ou tu as fait voeu de chasteté ???
Enfin un amateur.. j'ai aussi en stock la ballade de la grosse Margot (une sorte d'hommage à quelqu'un dans notre entourage par exemple qui cherche à arrêter de fumer) ^^
Ben j'ai pris Moine parce que LDP était déjà pris ^^
Au fait toujours pas de photo sur le profil ?
la Margot, la Margot, la Margot !!! on en veut du gode comme dit Sigmund !!! Là, au niveau de la rigidité (morale) de mes vioques de la rade, on s'enfonce, on s'enfonce...
Ah voui, comment qu'on fait pour les photos me dit Sigmund ???
bah pour tes vieux ça sera bientôt la rigidité.. cadavérique ^^
ke nais nie... ils bandent dur,mes vieux krypto-fachos. En plus, ils se reproduisent plus vite que la tapiole de gauche, pyramide des âges aidant...
Tsss... pessimiste n'oublie pas que bientôt grâce à BD nous pourrons adopter des moufflets et les formater en pédés et goudous de choc (stormtroopers) et ainsi partir à l'assaut de la Capitale en commençant par le QG de la pintade-à-roulettes ^^
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